
François Romain écrit un roman.
393 pages d’intrigue, de personnages et de péripéties.
393 pages et pas une où il ne s’interroge pas : l’histoire est-elle cohérente ? Mes personnages sont-ils crédibles ? Le cadre est-il vraisemblable ?
Déjà pour La Glissade, son précédent roman, il avait demandé à Écrire une correction sans concession.
Il avait envoyé son manuscrit à Écrire et il avait eu un retour quelques semaines plus tard : quelques heures de compte-rendu en visio et des notes écrites transmises par mail.
Pour Se Souvenir d’oublier, la demande de François Romain est claire :
« Tu fais comme pour La Glissade : tu repères tout ce qui ne va pas et surtout, si c’est pourri, dis-le-moi ! »
Il peut compter là-dessus.

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